Pour sa première participation à la Coupe du Monde, le Cap-Vert va vivre un moment unique, mêlant excitation et appréhension. La sélection insulaire a été placée dans le groupe H, aux côtés de l’Espagne, de l’Uruguay et de l’Arabie saoudite — un mélange de nations expérimentées et redoutables. Pour Bubista et ses joueurs, c’est un véritable baptême du feu.
L’émotion d’un rêve devenu réalité
Découvrir la scène mondiale face à des équipes comme l’Espagne, championne du monde 2010, ou l’Uruguay, double vainqueur de la compétition, est un défi de taille. «C’est un rêve qui se réalise pour nous tous», confie un membre du staff cap-verdien. «Nous savons que ce sera difficile, mais nous voulons profiter de chaque instant.» Même l’Arabie saoudite, capable de coups d’éclat comme son exploit contre l’Argentine en 2022, sera un adversaire à prendre très au sérieux.
Un groupe difficile mais une chance unique
Malgré la complexité du tirage, les Requins Bleus abordent ce tournoi avec ambition et détermination. La sélection a déjà montré sa solidité sur le continent africain, notamment lors de performances remarquables en Coupe d’Afrique des Nations. Les joueurs savent que chaque match sera une bataille, mais aussi une opportunité de montrer leur talent et leur solidarité.
«Nous n’avons rien à perdre, tout à gagner», souligne Bubista. «Chaque rencontre sera une leçon, une chance d’écrire notre histoire.»
Cette participation historique offre au Cap-Vert une visibilité internationale, une expérience précieuse et la possibilité de marquer les esprits. Pour les joueurs, le staff et tout un pays, chaque moment sur le terrain sera chargé d’émotion et de fierté. Dans ce groupe H relevé, le Cap-Vert partira avec courage et détermination, prêt à relever le défi et, peut-être, à créer des souvenirs mémorables pour le football insulaire.








