De plus en plus de capteurs intelligents sont utilisés en Afrique pour suivre les performances des athlètes, et c’est une nouveauté intéressante.
Les montres et les téléphones ont changé la manière dont les sportifs s’entraînent. En Afrique, beaucoup de sportifs utilisent des appareils connectés. Avec ces nouveaux appareils, les athlètes peuvent mieux s’entraîner, éviter les blessures et améliorer leurs performances.
Un outil réservé aux personnes chanceuses.
Au début, les GPS, les moniteurs de rythme cardiaque et les analyseurs de corps étaient seulement utilisés par des clubs de sport professionnels en Europe et en Amérique du Nord. Désormais, tout le monde peut les utiliser. Maintenant, ces appareils sont moins chers dans les magasins près de chez vous ou dans les supermarchés.
Il est important de bien suivre les choses.
Les capteurs sont très utiles pour les entraîneurs. Ils fournissent vite des infos sur la distance, l’effort, les vitesses et la fatigue. Ces informations aident à mieux s’entraîner et à repérer vite la fatigue.
Exemples faciles à comprendre en Afrique.
Au Kenya, les athlètes utilisent des montres connectées pour suivre leur vitesse et leur altitude pendant l’entraînement. En Afrique du Sud, les écoles de football mettent souvent des GPS sur les vêtements des jeunes joueurs pour suivre leurs performances.
Les restrictions incluent des limites d’argent, des connaissances à acquérir et des relations à établir.
Il y a encore des problèmes, même si des progrès ont été faits : peu de gens savent comment analyser les données, certains endroits n’ont pas Internet, et les coûts sont trop élevés pour les petits clubs. Mais avec des solutions gratuites et des financements, ces problèmes semblent se régler.
Les capteurs connectés ne sont plus aussi fascinants, mais ils sont maintenant vus comme indispensables dans une bonne stratégie. Ces équipements font que les installations sportives en Afrique respectent les normes internationales.
Il y a plus d’appareils en Afrique pour suivre les performances des athlètes.
Les nouvelles technologies portables ont beaucoup modifié la façon dont les sportifs s’entraînent. En Afrique, beaucoup de sportifs utilisent des capteurs pour mieux s’entraîner, éviter les blessures et améliorer leurs performances.
Une technologie pour les riches.
Avant, des appareils comme les GPS, les moniteurs de rythme cardiaque et les analyseurs de corps n’étaient utilisés que par des équipes professionnelles en Europe ou en Amérique du Nord. On a simplifié l’utilisation. Aujourd’hui, ces instruments coûtent moins cher grâce à des entreprises locales ou à des importateurs.
Obtenir de l’aide personnelle : c’est un moment clé.
Les capteurs aident les entraîneurs en leur fournissant des données en temps réel sur la distance, l’effort, la vitesse et la fatigue. Ces informations aident à changer les exercices et à reconnaitre vite la fatigue.
Des exemples concrets en Afrique.
Au Kenya, les athlètes se servent de montres et d’applications pour contrôler leur vitesse et leur altitude pendant l’entraînement. Les jeunes footballeurs en Afrique du Sud utilisent des GPS dans les écoles de foot.
Il faut penser aux dépenses, à la formation et à l’accès au réseau.
Même s’il y a eu des progrès, il y a encore des problèmes : il n’y a pas assez de formations pour analyser les données, certaines régions n’ont pas Internet, et les prix sont trop chers pour les petits clubs. Offrir des solutions gratuites et de l’aide financière peut aider à résoudre ces problèmes.
Les capteurs connectés ne sont plus populaires, mais ils sont désormais essentiels pour la stratégie. Ces équipements aident les installations sportives en Afrique à respecter les normes internationales.